LDC SKOPJE - CHAMBERY samedi 1er décembre 2012
C'est un collectif de 13 joueurs qui se rend en Macédoine à Skopje la rencontre d'une dernière chance ? parmi eux Loic Laurent qui s'affirme de plus en plus cette saison comme le leader du
groupe de CHAMBERY2, il faut surtout souhaiter aux handballeurs du CHAMBERY SAVOIE HANDBALL d'éviter les blessures et de garder un maximum de force pour les finales de la ligue des champions à
Toulouse qui sera certainement un teset déçisif sur les capacitées du CSH en cette première partie de championnat qui est loin d'être négatif pour le CSH malgré des matchs serrés
Bon voyage et bonne chance dans la région du froid.
Skopje (en macédonien Скопје, prononcé [ˈskɔpjɛ] (skopié) Prononciation du titre dans sa version originale Écouter, Shkup et Shkupi en albanais) est la capitale et la plus grande ville de la République de Macédoine. Elle compte aujourd'hui un peu moins de 700 000 habitants, soit environ le tiers de la population totale du pays, dont une forte minorité d'Albanais et des communautés turque et rom. En que seule métropole macédonienne, elle concentre la majeure partie des fonctions administratives, économiques et culturelles de la République de Macédoine. Elle est située sur un important carrefour routier des Balkans, entre l'Égée et le Danube, et l'Adriatique et la mer Noire, et vit principalement de l'industrie métallurgique, agroalimentaire et textile.
Après diverses occupations préhistoriques, Skopje naît véritablement au Ier siècle avec la fondation d'une colonie romaine appelée « Scupi », qui est incluse dans l'Empire romain d'Orient en 395. La ville antique est détruite par un séisme en 518. Reconstruite quelques kilomètres plus loin et fortifiée, elle connaît de nombreuses invasions au cours des Xe et XIe siècles, devenant notamment bulgare pendant quelques années. La domination byzantine s'achève avec la conquête serbe en 1282, et Skopje devient capitale de l'Empire serbe en 1346. L'État s'affaiblit toutefois rapidement et la ville est conquise par les Ottomans en 1392.
La ville devient alors majoritairement musulmane et sa fonction commerciale est favorisée par sa situation entre l'Europe centrale et la mer Égée. Au XVIIe siècle, Skopje est l'une des plus grandes villes des Balkans. Cependant, elle est incendiée en 1689 lors de la deuxième guerre austro-turque, et elle périclite jusqu'au milieu du XIXe siècle. L'ouverture d'une voie ferrée permet une certaine croissance démographique, et Skopje devient chef-lieu du vilayet du Kosovo en 1877.
Elle redevient serbe en 1912, puis est intégrée à la Yougoslavie en 1918. Chef-lieu de la banovine du Vardar, l'une des dix régions du royaume de Yougoslavie, elle devient capitale de la République socialiste de Macédoine après la Seconde guerre mondiale, puis, naturellement, capitale de la Macédoine indépendante en 1991. Tout au long du XXe siècle, la croissance démographique est soutenue et la ville s'industrialise. Cet essor est brièvement interrompu par le tremblement de terre de 1963. La ville est presque entièrement détruite, mais la reconstruction est rapide et entraîne un afflux d'investissements.
Les années qui suivent l'indépendance sont difficiles au niveau économique, et Skopje demeure une ville pauvre par rapport aux moyennes européennes et balkaniques, bien que les Skopiotes aient un meilleur niveau de vie que le reste des Macédoniens. La ville se caractérise par une architecture variée, comprenant plusieurs témoins de l'occupation ottomane ainsi qu'un important ensemble moderniste né après le séisme de 1963. Le centre-ville connaît par ailleurs depuis les années 2000 une vaste opération d'urbanisme, destinée à lui donner un visage plus monumental et affirmer son statut de capitale national