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Publié par fean73

N1M Présentation de la 18e journée par Davy Bodiguel
N1M : Stéphane Moualek et Rouen prêts à virer en tête
15 Avril 2016 | National > Nationale 1M

Présentation de la 18° Journée de Nationale 1 Masculine.
17 avril, l
a date marquée d'une pierre blanche est enfin arrivée... c'est l'heure du choc au sommet en poule 2 entre le dauphin Oissel-Rouen et le leader Caen. Rien ne sera définitif après ce duel... mais le vainqueur prendra un ascendant psychologique. Si la poule 3 ne présente pas de tête d'affiche, la poule 1 offre elle un duel intéressant entre Rodez et le leader Nice : un succès en terre Aveyronnaise rapprocherait le Cavigal Nice de la première place finale
.

La Normandie patronne de la poule 2 de N1M : avec cinq pensionnaires dont trois en tête du championnat, le handball Normand n’a jamais été autant en bonne santé… Caen et Oissel-Rouen en sont d’ailleurs les exemples les plus marquants. Deux formations qui se disputent actuellement un ticket pour accéder en Pro D2 la saison prochaine et c’est d’ailleurs le choc au sommet tant attendu du week-end en N1M. Si Caen s’est montré flamboyant pendant les quinze premiers matchs, son dauphin Rouennais est lui resté tapis dans l’ombre : il faut dire qu’avec une infirmerie bien remplie durant la phase aller et un casse-tête rarement vu en N1 sur le poste de gardien, le collectif Seino-Marin a su intelligemment laisser passer l’orage pour mieux rebondir en ce début d’année. Il est d’ailleurs temps de se découvrir en avril pour Yannis Mancelle et les siens : à la faveur d’une sévère baisse de régime Caennaise, Oissel-Rouen a une occasion unique de prendre le leadership dans son antre du Kindarena. De l’ombre à la lumière, les Rouennais veulent ainsi marquer les esprits face aux Vikings… avant d’aborder un calendrier compliqué durant cette fin de saison. A la tête du groupe Rouennais, Stéphane Moualek sait ce que sait que d’accéder en D2 puis en D1… lui qui l’a fait avec Nantes chez les filles comme chez les garçons… prouesse jusque-là inégalée ! Arrivé en Seine-Maritime à l’été dernier, l’ancien Chambérien aborde avec nous les enjeux de ce duel au sommet et dresse les contours de la fin de saison.

Stéphane, Caen est méconnaissable depuis ces deux dernières journées ?
Vu l’homogénéité de la poule, ça me paraissait impossible de terminer invaincu jusqu’à la fin. Caen est une cylindrée de haut vol… surement la meilleure équipe de toutes les poules de N1. Sauf que les autres ne sont pas mal non plus : Vernon revient en force, Nanterre n’est pas facile à manœuvrer et d’autres comme Amiens et Rennes sont compliqués à jouer. Je pensais que cette baisse de régime de Caen allait arriver avant… peut-être lors de la phase aller.

Six victoires d’affilée, ton équipe tourne bien malgré le fait que vous n’ayez pas joué le week-end dernier ?
Le championnat est un peu décousu en ce moment. Après, on sait qu’on doit enchaîner Caen, Nanterre et Vernon : trois gros matchs… parce que je n’oublie pas n’il y a pas que Caen dans l’histoire et que le championnat se joue aussi sur les autres matchs. Ca n’est si simple que ça de trouver du rythme, on doit faire avec de la récupération courte et du travail un peu musclé. On prépare ce match de la meilleure des manières et on ne change pas nos habitudes. On est plutôt bien en place depuis le début et on travaille d’arrache-pied chaque semaine pour remplir les obligations : à savoir bien défendre, avoir une attaque en place et être prêt physiquement pour mettre de l’intensité.

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