Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Catégories

Archives

Publié par fean73

CM Même pas peur les juniors, par François Darsiaux

Ils y sont ! Les Bleuets auront demain le fol espoir de décrocher un premier titre mondial chez les – de 21 ans. Face à l’Egypte, la France a été crispée, dominatrice puis tremblante, mais au final c’est une 8° victoire de rang que s’offrent les Français dans ce Mondial brésilien. En finale la France affrontera pour la seconde fois dans cette même compétition, le Danemark qui a sorti les champions d’Europe Allemands. Rendez-vous à 23h00 ce samedi pour savoir si les Bleuets arrive.  Mais quoi qu’il arrive, les hommes de Johann Delattre reviendront avec une médaille autour du cou et avant cette demi-finale face à l’Egypte, rien n’était sûr, tant la densité du dernier carré de ce Mondial est forte. Pour continuer à rêver en grand et s’assurer a minima une place sur le podium, le plus simple était de mettre ces diables d’Egyptiens à la raison. Et comme maintenant à leur habitude, les Français démarraient pied au plancher passé les premières minutes d’observation. Nicolas Tournat étant abreuvé de bons ballons, soit mettait la balle au fond, soit obtenait le 7 mètres. Florian Billant et Queido Traoré se jetaient vers l’avant dès que cela était possible et tout doucement les Bleuets prenaient leurs aises dans le jeu et au score. Surtout que peu à peu, les deux arrières latéraux sans doute les plus percutants de ce Mondial se mettaient eux aussi en route. A gauche Rudi Seri montrait que fougue et application peuvent être liées et à droite Florian Delecroix planait encore une fois avec un 100% de réussite. On est bien loin des errements et des échecs du début de compétition pour le grand gaucher nantais ! Avant la finale, le Saintais est tout simplement à plus de 68% de réussite, pour un arrière c’est tout simplement stratosphérique dans une compétition, internationale. Et encore, on pourrait gommer le 0/5 initial face à l’Algérie, tant sur ce match, il ne fut que l’ombre de l'arrière phénoménal qu'il est en ce moment. Avec deux ailiers qui mettent les occases au fond, avec deux arrières qui savent alterner prises de risques et passes, avec un pivot ultra-dominant, les Bleus arrivaient à bien contenir les assauts de Yehia Mohamed et consorts menant de 3 unités à la pause et surtout arrivant enfin à faire un vrai trou passé la 35° minute de jeu.

Pour lire l'article de François en entier, cliquez sur le lien ci-dessous

 

 
 
 

Commenter cet article