gardien

Bonjour David, tu es un nouveau arrivé au centre de formation, explique- nous ta première impression sur le centre au cours des premiers mois, ton intégration, tes angoisses, mais aussi tes envies dans ce nouveau club

Dès mon arrivée pour la prépa physique au mois d’aout, je me suis senti bien intégré dans le collectif du centre de formation. Les anciens du centre nous ont tous directement mis à l’aise, il faut dire que je connaissais déjà la moitié de l’équipe qui était passé comme moi par le pôle de Lyon. Il y a toutefois un vrai changement de cadre au niveau de l’exigence et de l’implication qui nous ai demandé en termes de niveau de jeu. En arrivant à Chambéry je suis conscient d’avoir un retard considérable par rapport au travail physique et technique, dut à de nombreuses blessures durant mes années pôles. Ces deux aspects sont donc ceux que je voudrais travailler en priorité, dans le but de rapidement me stabiliser au niveau de jeu n1.

Parle-nous de ton parcours de ton ou tes clubs de handball, à quel âge tu as commencé, ton choix d’être gardien et ce qui te motive à ce poste

J’ai connu deux club avant d’arriver à Chambéry, Tassin la demie lune ou j’ai commencé le hand lorsque j’avais 11 ans, puis Vénissieux handball que j’ai rejoint a 15 ans pour jouer à un niveau -18 championnats de France. Le choix d’être gardien de but s’est imposé à moi très rapidement, tout d’abord parce que j’étais nettement meilleur à ce poste que sur le terrain, et ensuite il faut le dire parce que je ne suis vraiment pas fait pour courir. Aujourd’hui j’éprouve un réel plaisir à évoluer en tant que gardien de but, le sentiment d’être le dernier rempart de l’équipe et de pouvoir faire basculer le match est vraiment très stimulant. En parlant de mon parcours jusqu’à aujourd’hui je suis obligé de parler de mes 3 années passées au pôle de Jean Perrin, ou j’ai découvert ce qu’était le handball de compétition et les exigences que cela imposait. Mais ou j’ai également eu la chance de tomber sur une génération 96 extraordinaire (étienne leclecq et fabien chazalet également au csh), et de rencontrer des personnes en dehors du hand qui comptent beaucoup pour moi.

Bien que pas terminé, que pense tu de ta première saison en N1, tes impressions ton ressenti lors de certaines rencontres, explique nous le regard que tu portes sur le CSH.

Pour l’instant le moins qu’on puisse dire c’est que ma saison est très irrégulière, j’ai été capable de réaliser des bons matchs mais également de passer totalement au travers d’autres. Jusqu’à mon arrivé à Chambéry je n’avais pas une grande connaissance du niveau national sénior, ce sont donc des sensations en match très différentes de ce que j’avais connu jusqu’à maintenant. Le CSH a vraiment un super encadrement tant au niveau des coaches, du préparateur physique, qu’au niveau médical. J’espère donc réussir à en tirer au maximum parti pour pouvoir progresser.

en quelques mots, ou en sont tes études ? Arrive tu as bien concilier les deux, sport et étude

Cette année je suis en première année de bachelor à l’INSEC en e-learning (bac plus 3 en économie par enseignement à distance). Jusqu’à présent j’ai validé toutes mes matières lors des partiels, j’espère donc continuer sur cette voix !

as-tu déjà des ambitions d’avenir ?

Dans un premier temps m’imposer au niveau national 1. Après forcément comme tout joueur qui rentre en centre de formation, réussir à décrocher un contrat pro à la sortie de ces année-là et si j’y arrive au sein du club de Chambéry, ce serait vraiment l’aboutissement d’un rêve !